Boulot (suite mais pas fin)

J’ai finalement refusé le poste: trop loin, pas assez intéressant.

Le point positif est que le prestataire a bien pris mon refus et garde un oeil sur mon profil au cas où…
Même s’il ne me rappelle pas, il m’aura permis de me resituer professionnellement.

J’ai eu hier mon entretien annuel dans la boite où je travaille.
Rien de réellement motivant, un chef inexistant qui ne comprend pas que l’on ait besoin d’avoir un minimum d’objectifs et de reconnaissance pour travailler sans avoir l’impression de faire quelque chose de complètement inutile…

Bref pas très réjouissant…

J’ai, dans le même temps, démissionné de mon poste de secrétaire du CE: beaucoup de similitudes avec mon job, une réelle sensation que le CE ne sert qu’à distribuer des bons cadeaux et autres chèques vacances. Pas de volonté de la direction de la boite de s’investir dans des discussions qui pourraient pourtant être bénéfiques à tout le monde.

Les deux personnes qui travaillent avec moi savent désormais que je suis homo. Une merde de moins à traîner, marre de ne pas pouvoir parler franchement, de devoir presque se cacher (au moins je n’ai jamais mentis en m’inventant une pseudo vie d’hétéro…).

Il va me falloir du changement, et si ce n’est pas de taf alors ça sera de comportement, je suis bien décidé à ce que l’on ne me marche plus sur les pieds.
Jusqu’à présent je passais pour le bon gros gentil, un peu grognon mais pas trop. Il va falloir que ça cesse aussi ,certains méritent vraiment d’être remis à leur place.

Je sais pas où ça va me mener tout ça, mais j’y vais c’est certain.

Montmartre

Suite des photos prises dimanche dernier, d’autres suivront certainement ;)

Salle d'attente ?RéflexionsPeaceVers les cieuxDownstairs to the graves CalvaireDu haut de la butte

Boulot (suite bis)

Ce matin, j’ai passé finalement un entretien d’embauche, un vrai.

Bilan mitigé: le poste à pourvoir est loin de chez moi, très loin, je mettrai au bas mot 1 heure de transport de plus par jour.
Le travail n’a pas l’air très intéressant, à savoir que cela m’enferme dans un domaine qui ne m’attire pas vraiment (les essais mécaniques et vibratoires).
Alors bien sur, le prestataire, qui veut m’embaucher, me vend le poste en me disant qu’il y a des perspectives d’évolution intéressantes, que je peux demander à suivre plusieurs formations afin d’acquérir de nouvelles compétences, etc…
Reste que là, je ne suis pas convaincu, de plus je n’ai pas grand chose à y gagner financièrement.

Il va me falloir réfléchir et prendre une décision avant la fin de la semaine. Je n’ai au final rien à perdre, mais aussi pas grand chose à gagner.
Je suis, en ce moment, partagé, j’en ai parlé avec Stephan, je supporte de moins en moins la région Parisienne, il faut que je prenne du recul vis à vis de ce que je veux faire.

Lui, préfère retourner en Allemagne plutôt que de vivre en province. Je le comprends, d’autant plus qu’il est venu en France pour vivre à Paris.
Si je reste en Ile de France, il me faudra trouver un emploi plus proche de chez moi, pour sortir du fameux “métro, boulot, dodo (pas assez d’ailleurs)”.

Mon entretien annuel à mon taf va se faire demain, ou après-demain (mes j’opte pour demain, je vais le provoquer). Il me reste donc à voir ce que la boite où je bosse actuellement me propose en terme d’évolution.

Je ne partirai sûrement pas chez ce prestataire mais la chose dont je suis sûr maintenant, c’est que mon profil est intéressant et me permettra en me bougeant un peu le derrière de trouver un emploi avec de meilleures conditions que celles que j’ai actuellement.

Week-end

Hier j’ai rencontré quelques personnes de Planète Powershot.

Très bonne journée en compagnie de gens agréables.
Nous nous sommes promenés du côté de Montmartre, du sacré au cimetière.
Sur le lot de photos prises, quelques unes ont échappé à la corbeille:

+

d’autres suivront.

Et de 4 !

Aujourd’hui ça fait quatre ans que je partage ma vie avec Stephan.

Quatre années pleines de joies, de bonheurs mais aussi de petits coups de gueule et de petites peines.

Que dire de plus sinon que plus le temps passe et plus je l’aime, d’un amour dont je n’aurais pas soupçonner l’existence il n’y a pas si longtemps encore.

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