Cheveux
Hier soir, je me suis tondu la tête.
HORREUR !!
J’ai encore perdu énormément de cheveux !
Si ça continu comme ça, dans un ou deux ans, je pourrai me passer de ma tondeuse…
D’un point de vue esthétique, ça ne me gêne pas.
Ce ne serait donc pas si grave que cela s’il n’y avait pas d’hivers et d’étés : par les températures actuelles, sortir sans bonnet est difficile ; l’été c’est la casquette qu’il faut avoir sous la main, sinon c’est coup de soleil sur le crâne assuré, et je peux assurer que c’est très douloureux sur le cuir chevelu, et pas très propre si on a le malheur de peler…
Le lundi matin…
Il y a des trucs qui énervent un peu le matin, surtout le lundi quand on a pas assez dormi et qu’on lutte contre le sommeil:
depuis déjà 2-3 mois, j’ai changé de bureau au boulot. Le service où je travaille, qui jusqu’alors était éparpillé dans les locaux, est enfin réuni.
Notre secrétaire (V) est dans le bureau adjacent au notre (mes deux collègues et moi). Un passage sans porte réunit les deux pièces.
Le fait qu’il n’y ait pas de porte a son importance: un va et vient constant de secrétaires défile dans le bureau de V. Elles discutent de leurs gamins, de ce qu’elles ont préparé la veille à manger.
Des trucs de femmes quoi (ce n’est pas péjoratif, mais c’est un constat).
C’est un rien saoulant, je prends sur moi mais c’est difficile quand même…
Londres intro
Blogger ayant eu des soucis techniques, mercredi soir, mon dernier billet n’a pas été publié.
Vendredi dernier était le jour de mon anniversaire, pour fêter ça, nous sommes allés, Stephan et moi, à Londres de jeudi à aujourd’hui (le fait que je prenne un an de plus n’est qu’une excuse à notre voyage).
Mes prochains billets auront donc pour sujet ce petit voyage, oh, rien d’extraordinaire si ce n’est une ou deux petites anecdotes marrantes.
ps: je rajouterai prochainement dans ma galerie de photos, un thème sur Londres avec les quelques clichés “montrables”
De l’intêret de tenir un Blog
Suite à un message de Marc sur son Blog a propos de ses podcasts, je suis en train de me demander d’où viennent les motivations qui m’ont poussées à créer ce Blog.
Tenir un journal intime?
Je n’ai pas besoin dans ce cas de le faire sur le net.
Etre lu?
Peut être un peu, je n ‘aurais pas mis de compteur sinon…
Faire comme les autres?
Surement un peu aussi.
En fait, je crois que je suis en train de me découvrir via ce Blog. Je suis une personne incapable d’exprimer ses sentiments et ses pensées. En cela ce journal m’aide, même si de toute évidence je n’y raconte pas grand chose de bien intéressant.
Débauche
Non il ne s’agit pas de ce que vous pensez
Il y a plus de 4 ans maintenant, je suis monté sur Paris pour travailler.
Il s’agissait d’un petit boulot de 4 mois dans un labo.
Suite à ce job, j’ai eu l’oportunité de suivre une formation en métrologie d’un an en alternance.
Cette formation, je l’ai effectuée dans une petite entreprise, dans le domaine de la thermométrie.
A la fin de ma formation, le patron de cette boite m’a proposé de me garder.
Il se trouve que cette année là a été mouvementé pour moi: je venais enfin d’accepter ma sexualité et de faire mon coming-out (difficile en particulier avec mon père…)
Le patron de cette petite boite est homophobe (sa soeur serait lesbienne et son frère gay…). Je ne lui ai evidemment rien dit me concernant.
Cela a été pour moi la principale raison de mon refus du poste proposé.
Pour les autres employés, le constat est mitigé à savoir que certains sont homophobes tandis que d’autres non.
J’ai gardé contact avec deux personnes de cette boite, je prends des nouvelles de temps en temps.
Vendredi dernier, je reçois un mail de l’un d’eux (T), il voulait mon numéro de téléphone, il a quelque chose à me demander. Je le lui envois donc.
En fin d’après midi je reçois un coup de fil de T, il me dit que la boite s’est un peu developpée, qu’il sont en train de monter un dossier d’accréditation, et qu’ils vont avoir besoin de quelqu’un pour les aider à surmonter la charge de travail.
Il ne m’a donc pas fallu plus d’un quart de seconde, au moment où il a commencé à parler de la suractivité pour comprendre qu’il voulait me proposer un poste.
Dans un premier temps, ceci m’a flatté, si on me rappelle c’est que mon travail a été apprécié.
Puis m’est venu un moment de doute, comment pourrais-je occuper ce poste dans une boite qui ne m’accepterait pas tel que je suis?
Pourtant cela est tentant: je gagnerai plus d’une heure de transport par jour, je serai mieux payé.
Pour le moment T m’a dit qu’ils ont pensés à moi, mais que j’ai le temps de réfléchir à la proposition, le poste ne serait à pourvoir que dans quelques semaines et ils n’ont toujours pas diffusé d’annonces.
Je pense donc parler à T de ma situation, et lui expliquer les raisons qui m’ont poussées à partir une première fois et qui penchent vers le refus de cette proposition, en sachant je n’ai rien à perdre, c’est eux qui sont venus me chercher.
Je doute pourtant de moi, j’ai peur de faire une connerie en quittant la boite où je suis (pourtant c’est pas les raisons qui manquent pour la quitter).