Boulot (suite bis)

Ce matin, j’ai passé finalement un entretien d’embauche, un vrai.

Bilan mitigé: le poste à pourvoir est loin de chez moi, très loin, je mettrai au bas mot 1 heure de transport de plus par jour.
Le travail n’a pas l’air très intéressant, à savoir que cela m’enferme dans un domaine qui ne m’attire pas vraiment (les essais mécaniques et vibratoires).
Alors bien sur, le prestataire, qui veut m’embaucher, me vend le poste en me disant qu’il y a des perspectives d’évolution intéressantes, que je peux demander à suivre plusieurs formations afin d’acquérir de nouvelles compétences, etc…
Reste que là, je ne suis pas convaincu, de plus je n’ai pas grand chose à y gagner financièrement.

Il va me falloir réfléchir et prendre une décision avant la fin de la semaine. Je n’ai au final rien à perdre, mais aussi pas grand chose à gagner.
Je suis, en ce moment, partagé, j’en ai parlé avec Stephan, je supporte de moins en moins la région Parisienne, il faut que je prenne du recul vis à vis de ce que je veux faire.

Lui, préfère retourner en Allemagne plutôt que de vivre en province. Je le comprends, d’autant plus qu’il est venu en France pour vivre à Paris.
Si je reste en Ile de France, il me faudra trouver un emploi plus proche de chez moi, pour sortir du fameux “métro, boulot, dodo (pas assez d’ailleurs)”.

Mon entretien annuel à mon taf va se faire demain, ou après-demain (mes j’opte pour demain, je vais le provoquer). Il me reste donc à voir ce que la boite où je bosse actuellement me propose en terme d’évolution.

Je ne partirai sûrement pas chez ce prestataire mais la chose dont je suis sûr maintenant, c’est que mon profil est intéressant et me permettra en me bougeant un peu le derrière de trouver un emploi avec de meilleures conditions que celles que j’ai actuellement.

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