Et qui fini mal
Il y a des soirs, où ça ne va pas.
Aujourd’hui par exemple j’ai envie de pleurer et je ne sais même pas pourquoi.
Le pire c’est que cela me soulagerait sûrement mais je n’y arrive pas…
Je n’ai pas de raisons particulières pour déprimer en plus: au boulot ça se passe pas trop mal, avec Stéphane aussi, j’ai pas de problèmes financiers non plus.
En fait je crois que ça fait un moment que je m’enfonce, et là j’en peu plus de faire semblant d’aller bien. Pourtant j’y arrive bien (à faire semblant) mais au fond de moi j’ai un manque, je n’arrive d’ailleurs pas à savoir d’où vient mon problème, si ce n’est que je sorts de moins en moins, je ne vois presque plus mes amis et je suis de plus en plus colérique alors que je suis généralement calme.
J’en ai enfin parlé un peu à Stéphane avant qu’il aille travailler. Il a eu peur d’être responsable de mon état, je l’ai rassuré sur ce point, c’est la seule chose dont je sois sûr, c’est qu’il n’y est pour rien.
J’espère qu’une bonne nuit de sommeil me remettra les idées en place, j’en ai bien besoin…
Commentaires
3 Responses to “Et qui fini mal”
Moi, quand je suis crevé, je vois les choses en noir - et après une bonne nuit de sommeil, ça va toujours mieux ; c’est trivial ce que je raconte mais c’est vrai !
J’aimerais que se soit le cas aussi pour moi
Aujourd’hui ca va un peu mieux que hier, c’est déjà ça…
Ouais, c’est déjà ça !
De mon expérience, il faut savoir se forcer à trouver les points positifs de la vie parfois - même si ce n’est pas toujours facile et même si on n’en a pas forcément envie sur le moment. Se laisser gagner par la déprime n’amène pas grand-chose d’intéressant…
Et puis avec un peu de chance, il neigera demain !