Retour corsé

Si ce matin, mon trajet pour aller bosser était tendu, ce soir c’était terrible.
Je suis parti à 16h30 du boulot.
Un collègue m’a gentiment déposé à la gare de St Quentin direction Montparnasse, j’ai ainsi éviter 15 minutes de marches.
C’est à partir de là que ça s’est compliqué un peu.

Je voulais prendre la ligne 4 pour récupérer la 1 à Châtelet. Il y avait tellement de monde que l’on ne pouvait atteindre les quais, les couloirs eux même étaient bondés…
Voulant garder des nerfs intacts, je me décide pour une petit marche à pieds.
J’ai donc remonté la rue de Rennes, traversé St Germain des près, la Seine, pour me retrouver à la station Louvre-Rivoli dans l’espoir de monter dans le métro direction Vincennes.
J’ai laissé défilé quelques rames (je suis resté en gros 20 minutes dans la station), mais impossible de monter dedans, pleines à craquer, les gens écrasés contre les vitres et les portes…
Je me décide donc pour continuer à pieds jusqu’à l’ Hôtel de Ville en espérant que la ligne 1 se vide en partie aux Halles et à Châtelet.
Je dois dire que j’ai bien senti le coup, je n’ai laissé passer que deux rames avant de pouvoir monter dans un train relativement vide par rapport aux autres.

Arrivé à la station Bérault, les 1.6 km me séparant de chez moi m’ont paru long (quelle idée d’avoir mis des godasses pas souples aujourd’hui…).

Je suis arrivé à 19h50, soit a peu près 3h20 après mon départ.

Et dire qu’il faut remettre ça demain 8:

Parcours du combattant

Jusqu’à aujourd’hui, j’ai pu éviter les grèves, je suis resté chez moi, j’ai posé des jours.
Hélas, mes congés ne sont pas extensibles, il m’a donc fallu prendre mon courage à deux mains et aller bosser.

Je suis parti de chez moi à 5h45 pour une petite marche direction Vincennes, la ligne 1 fonctionnant à peu près normalement.
Descendu à Châtelet, j’ai pris la 4 pour aller à Montparnasse, seule gare disposée à me déposer à Trappes.
Les gens sont malades, vraiment: pour monter dans ces fichues rames du métropolitain, ils se bousculaient, s’engueulaient, de vraies bêtes…
Coup de bol, trois rames se suivaient, la dernière était suffisamment vide pour que je daigne y monter.

Finalement je suis arrivé 2h30, après mon départ, au boulot. Je crains le retour ce soir, je ne sais pas à quelle heure je serai à l’abri…

Tout ça me fait penser à ce titre (The Chariot And Shot Each Other), où il faut se faire violence la première moitié, pour apprécier la seconde partie.

Week end au lit

Week end tout pourri, j’ai chopé une crève terrible en fin de semaine dernière, du coup je suis resté au chaud.
J’ai même pas eu le courage de traiter les photos en attente, exceptée une, pas terrible en plus…

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A portée de la main

Le week end dernier, j’ai profité que Stephan passe quelques jours en Allemagne pour recabler les tableaux électriques de l’appartement.
Ça m’a pris tout le week end, je ne suis pas sorti de la maison, donc pas de sortie photo.

Dimanche matin, levé de bonne heure, j’ai profité des premiers rayons de soleil pour prendre quelques photos, de la fenêtre du salon.
Comme quoi, des fois, on a tout à la portée de la main.

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Grève

Si hier, j’ai posé un journée de RTT (tant qu’on en a encore), les transports étant indisponibles pour cause de grève (que je comprends parfaitement), ce matin j’ai pris mon courage à deux mains pour aller bosser.
Résultat: 3 heures pour aller au taf ce matin.
Pas de RER A, j’ai donc du prendre la ligne 1 du métro.
Hormis le fait qu’elle met trois fois plus de temps que le RER pour aller de Nation à La Grande Arche, elle était bondée, ce qui m’a valu de louper mon train de banlieue (de quelques secondes).
Le train suivant passait 1 heure plus tard, j’en est donc profité pour faire quelques photos.

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